Complément alimentaire de flavobiotiques : flavonoïdes pour le microbiote

Flavo Fight est un complément « flavobiotique » breveté, extrait naturellement de l’oranger (Citrus sinensis). Soutenu par deux études scientifiques, l’une in vitro et l’autre clinique, il est normalisé à 80 % d’hespéridine et 3,5 % de naringine, deux flavonoïdes spécifiques, pour maximiser son efficacité vis-à-vis du microbiome.

Qu’est-ce que le microbiome ?

Le « microbiome humain » est l'ensemble des micro-organismes (bactéries, champignons, virus, archées et microbes eukaryotes) vivant en symbiose avec l’homme (1). Il se situe dans les zones du corps humain présentant un tissu épithélial comme l’estomac, l’intestin, la peau, les voies respiratoires et l’appareil urogénital (2). Le séquençage à haut débit a révolutionné la recherche dans ce secteur : on sait aujourd’hui que le microbiome est composé de plus de cent mille milliards de micro-organismes, dont une partie est transmise par la mère au moment de l’accouchement, puis de l’allaitement.

Sa composition et sa fonction varient selon l’âge, le genre et le régime alimentaire, mais aussi selon les conditions de vie, le stress, la dépression, la maladie, la prise d’antibiotiques et d’autres facteurs environnementaux (3). Les études les plus récentes démontrent sans ambiguïté son impact important pour maintenir l’homme en bonne santé (4) :

• il contribue au métabolisme normal de l’organisme (notamment par la fermentation de résidus alimentaires non digestibles) ;
• il participe au développement de l’individu, et notamment du cerveau ;
• il intervient dans la protection contre les agents pathogènes ;
• il agit pour maintenir l’intégrité de la barrière muqueuse intestinale (5) ;
• il est crucial pour la synthèse de certaines vitamines, en particulier la vitamine B12 et la vitamine K ;
• il interagit avec le système immunitaire des muqueuses.

L’équilibre de sa composition est fragile et de multiples facteurs peuvent engendrer un déséquilibre, qu’on appelle dysbiose et qui est associé à de nombreuses maladies telles que l’obésité, le syndrome métabolique, les troubles inflammatoires de l’intestin, l’arthrite…

Une nouvelle approche thérapeutique consiste à utiliser des métabolites sécrétés, modulés ou dégradés par le microbiome humain : les acides gras à chaînes courtes.

Que sont les acides gras à chaînes courtes ? Quels sont leurs bienfaits ?

Les bactéries commensales du microbiome fermentent les glucides et les protéines issus de l’ingestion des aliments en chaînes d‘acides gras courtes (acide lactique, acide acétique, acide butyrique, etc.) et en gaz (hydrogène, dioxyde de carbone).

Ces acides gras à chaînes courtes servent ensuite de source d’énergie pour les cellules intestinales et sont indispensables à leur bon fonctionnement. Ils favorisent notamment le péristaltisme intestinal et ont un effet à la fois protecteur et anti-inflammatoire sur les muqueuses. C’est un paramètre important car une muqueuse endommagée ou présentant une couche protectrice de mucus insuffisante peut être traversée par toutes sortes d’agents pathogènes et provoquer une inflammation à l’origine d’inconforts ou de maladies.

De récents travaux démontrent que les flavonoïdes présents dans l’alimentation modulent positivement cette formation d’acide gras à chaîne courte.

Que contient le complément FlavoFight ?

Flavofight contient des flavonoïdes précieux extraits naturellement de l’orange (Citrus sinensis). Pour une efficacité maximale, il a été normalisé à 80 % d’hespéridine et 3,5 % d’iso-naringine, et contient des fibres assimilables par le microbiome. Les études montrent que 90 à 95 % des flavonoïdes de Flavofight parviennent intacts jusqu’au colon où ils seront métabolisés.