Si vous hésitez encore à essayer DermaRelief, voilà quelques arguments qui ne vous laisseront pas indifférent(e).

1. On consomme des aliments fermentés (contenant donc des probiotiques) dans la plupart des cultures du monde depuis au moins 8 000 ans.
2. Il a été montré que l’alimentation contribuait à la protection des cellules de la peau par voie interne avec un apport ciblé en tocophérols et en vitamine C notamment.
3. DermaRelief est constitué de quatre souches bactériennes rigoureusement sélectionnées pour leur pouvoir probiotique et ne contient qu’un excipient naturel : de la farine de maïs.
4. Les animaux dépourvus de flore intestinale sont caractérisés par un nombre plus faible de lymphocytes B et T, de cellules dendritiques et d’immunoglobulines (13-19).

Le Polypodium leucotomos atténue les mauvais effets des UV

L'action du Polypodium leucotomos contre la dégradation de l'épiderme s'explique aussi par son caractère photoprotecteur, à savoir sa capacité à protéger la peau des mauvais effets des rayons du soleil. Cette plante aurait acquis cette faculté au cours de son évolution, lors de son passage du monde aquatique à la terre ferme. (4)

Les composants de la fougère agiraient en effet en empêchant la photoisomérisation de l'acide trans-urocanique et en bloquant sa photodécomposition, ordinairement provoquées par une exposition aux UV. L'extrait de Polypodium leucotomos provoquerait en finalité une inhibition de l'apoptose (c'est-à-dire de la mort des cellules) causée par les rayons du soleil. (5) (6)

Une étude américaine de 2015 a démontré que la prise d'un extrait de cette plante (sous forme de complément de 240 mg, deux fois par jour sur 60 jours) constituait un moyen efficace d'atténuer les désagréments causés par les UV. L'étude a également confirmé que le produit ne présentait aucune contre-indication. (7)

La prise d'un extrait de Polypodium leucotomos joue par ailleurs un rôle bénéfique dans le traitement de la photodermatose idiopathique : elle soulage de la lucite polymorphe, du prurigo actinique ainsi que de l'urticaire solaire. (8)

Lutte contre le vieillissement cutané et protection de l'ADN

Le Polypodium leucotomos joue ainsi un rôle important contre le photovieillissement. Il agit notamment en renforçant les fibroblastes du tissu cutané et en aidant à la prolifération des kératocynes, ce qui ralentit l'apparition des rides et permet à la peau de conserver sa souplesse plus longtemps. (9)

Rappelons que le soleil peut causer des dégâts graves en détériorant les brins d'ADN de nos cellules. Avec le temps, ces diverses mutations sont susceptibles d'engendrer des cancers. Une cure de Polypodium leucotomos présente l'avantage de réduire ce risque en sauvegardant la composition génétique des cellules de la peau.

Une plante riche en acide paracoumarique, caféique, férulique...

Naturellement riche en anti-oxydants, ce extrait naturel constitue un excellent moyen de lutter contre le stress oxydatif qui attaque l'organisme. Parmi les composés qu'il contient, citons notamment :

• l'acide paracoumarique
• l'acide caféique
• l'acide vanillique
• ou encore l'acide férulique. (10)

Une composition idéale pour éliminer les espèces oxygénées réactives

Ces différents acides se chargent naturellement d'éliminer les radicaux libres (et autres dérivés réactifs de l'oxygène, comme l'anion superoxyde), autant de molécules instables qui encombrent l'organisme, abîment ses cellules et ses protéines et sont à l'origine de cancers comme de maladies dégénératives. (11) (12)

La flore intestinale permet de produire des vitamines que nous sommes incapables de synthétiser, de digérer des molécules complexes et même de contribuer à l’efficacité du système immunitaire. Leur présence est le fruit d’une longue collaboration ayant joué un rôle crucial dans l’évolution de l’espèce humaine.

Aujourd’hui, malheureusement, plusieurs facteurs, parmi lesquels la consommation excessive de produits ultra-transformés et l’excès d’agents antimicrobiens contribuent à altérer profondément la diversité et la quantité de bactéries bénéfiques colonisant notre intestin. Cette altération est dramatique puisque les femmes transmettent ensuite leur microbiote à leurs enfants (20). La supplémentation en probiotiques participe à rétablir un microbiote normal (21).