Lung Detox | Complément Alimentaire pour les Poumons

Lung Detox est un complément alimentaire destiné à optimiser la santé des fonctions respiratoires. Il contient les meilleurs ingrédients naturels pour favoriser la détoxication des poumons : quercétine, bromélaïne, curcuminoïdes, extrait de pétasite, écorce de pin maritime, épigallocatéchine gallate (EGCg), NAC.

À qui est destiné Lung Detox ?

Le complément alimentaire Lung Detox s’adresse à toutes les personnes préoccupées par l’état de leurs poumons et de leurs voies respiratoires. Il peut être particulièrement utile aux personnes suivantes :

Les personnes qui fument ou qui ont fumé durant plusieurs années dans le passé. Le tabagisme, actif ou passif, est l'un des facteurs les plus importants du déclin fonctionnel des poumons (3-5).
Les personnes qui ont habité longtemps en ville. L’air urbain contient de nombreux polluants atmosphériques tels que les poussières fines ou le dioxyde d’azote. Certains ont des effets immédiats plus ou moins marqués, mais la plupart contribuent à l’apparition de lésions irréversibles des tissus pulmonaires à long terme et d’une détérioration de la fonction pulmonaire.
Les personnes qui ne font pas suffisamment d’exercice au quotidien.
Les personnes régulièrement atteintes de brûlures d’estomac (reflux gastro-œsophagien). L’acide gastrique qui remonte dans l’œsophage est souvent aspiré en petites quantités dans les poumons, ce qui réduit à terme le diamètre d’ouverture des bronches (du fait d’une stimulation excessive du nerf vague).
Les personnes soucieuses du bon vieillissement de leurs fonctions respiratoires.

Cinq bonnes raisons de choisir Lung Detox

La dégradation ou l’inflammation, même minime, des voies respiratoires et des poumons affaiblit les défenses immunitaires et le système cardio-vasculaire, qui doit compenser la diminution des apports en oxygène. Il en résulte une baisse de l’espérance de vie en raison de la mortalité respiratoire, cardio-pulmonaire, infectieuse et cancérologique.
Les maladies pulmonaires obstructives chroniques constituent la quatrième cause de décès après le cancer, les maladies cardiaques et les AVC (accidents vasculaires cérébraux).
La dégradation des poumons est un phénomène extrêmement insidieux. Quand les premiers symptômes apparaissent, les lésions pulmonaires sont déjà très avancées.
Les enzymes antioxydantes endogènes, qui combattent le stress oxydatif, sont faiblement exprimées dans l’épithélium respiratoire.
Les poumons vieillissent très vite : dès l’âge de 30 ans, la consommation d’oxygène maximale diminue de 10 % par décennie (6-7).

Pourquoi les poumons vieillissent-ils plus vite que les autres organes ?

Les milliards de cellules que compte notre organisme ont des besoins énergétiques gigantesques et constants. Pour répondre à ces besoins, nous convertissons le dioxygène de l’air en énergie grâce à un mécanisme qu’on appelle « la phosphorylation oxydative ». Mais cette opération est dangereuse : l’oxygène est un composé agressif, qui a tendance à dégrader nos protéines, nos cellules et nos tissus. Environ 2 % de l’oxygène que nous respirons se transforme en des dérivés encore plus dangereux : les espèces réactives de l’oxygène (ERO), qu’on appelle aussi parfois les radicaux libres.

Toutes les cellules sont en contact permanent avec de l’oxygène, mais celles qui constituent les tissus des poumons (bronches, alvéoles) sont exposées tout au long de la vie à la plus forte pression partielle d'oxygène que l'on puisse trouver dans l'organisme. Tout l’oxygène qui sert à alimenter les cellules de l’organisme passe à leur proximité. Ces cellules sont donc plus endommagées que les autres, et ce d’autant plus que les enzymes censées combattre les radicaux libres y sont plus rares qu’ailleurs (8). À long terme, ces dommages s’accumulent, provoquant le vieillissement prématuré des cellules.

Que contient le complément alimentaire Lung Detox ?

Lung Detox contient les ingrédients les plus validés scientifiquement pour le renforcement des tissus pulmonaires et le soulagement des symptômes liés à l’inflammation des voies respiratoires :

De la N-acétylcystéine (NAC). La NAC est une forme particulière de l’acide aminé cystéine, capable de fluidifier les sécrétions des bronches et d’améliorer la respiration, en particulier celle des personnes qui souffrent de maladie pulmonaire obstructive chronique (9-10). C’est également un précurseur du glutathion, l’antioxydant endogène le plus puissant de l’organisme. Le glutathion voit ses niveaux dans l’organisme diminuer avec l’âge.
De l’épigallocatéchine (EGCg), extraite des feuilles de thé vert. L’EGCg est la plus puissante des catéchines : elle contribue à protéger les tissus pulmonaires du stress oxydatif. Elle renforce et complète les autres composants de la formule pour en augmenter l'activité dépurative.
De la quercétine, extraite des bourgeons de Sophora du Japon. La quercétine est un flavonoïde qui présente des effets anti-inflammatoires redoutables.
De la bromélaïne (2000 GDU/g). Il s’agit d’un groupe d’enzymes protéolytiques non dégradées par le système digestif et qui passent donc dans la circulation sanguine. Elles y exercent une activité anti-inflammatoire systémique, grâce à leur capacité à inhiber la production de messagers qui causent l’inflammation (les prostaglandines). L’ensemble des données scientifiques permet de penser que la bromélaïne est efficace pour soulager l’inflammation (11-12), en particulier au niveau des sinus (13).
Des curcuminoïdes extraits de racines de Curcuma longa. Les curcuminoïdes sont des antioxydants puissants capables de lutter contre l’inflammation, laquelle joue un rôle déterminant dans le déclin respiratoire et dans de nombreuses maladies chroniques.
Un extrait de Petasites hybridus normalisé à 15 % de sesquiterpènes lactones. Plusieurs études ont montré que cette plante était bénéfique pour soulager différents troubles respiratoires comme l’asthme, la toux et les allergies respiratoires (14-15).
Un extrait d’écorce de pin maritime normalisé en OPC (proanthocyanidines). Les OPC sont des flavonoïdes connus pour leurs fortes propriétés antioxydantes (20 à 50 fois plus importante que celle des vitamines C et E).

Comment prendre Lung Detox ?

On recommande la prise d’une gélule avant chacun des deux principaux repas. Pendant toute la cure, il vous est également recommandé de suivre ces conseils.

Réduisez vos apports en sucres

Plusieurs essais cliniques ont montré qu’une réduction des apports sucrés permettait d’améliorer la résistance à l’effort chez les personnes victimes de bronchite chronique. La digestion des sucres produit davantage de dioxyde de carbone que celle des protéines et des matières grasses. Or son évacuation par les poumons est rendue plus difficile s’ils sont endommagés.

Augmentez progressivement votre niveau d’activité physique

Lorsque vous faites de l’exercice, comme du jogging, de la natation ou même de la marche, vos muscles travaillent plus intensément et vous avez donc besoin de davantage d’oxygène. Pour gérer cette demande supplémentaire, la respiration et la circulation augmentent. Si cet exercice est effectué de manière régulière, les muscles s’habituent et se renforcent, réduisant la quantité d’air nécessaire à la tenue de l’exercice (16).

Apprenez à mieux respirer

Les personnes ayant des fonctions respiratoires dégradées ou enflammées sont souvent en situation d’hyperventilation chronique et manquent d’oxygène. Pour améliorer le problème, on recommande de s’initier à des exercices de respiration de façon à muscler le diaphragme, à améliorer les échanges gazeux au niveau des poumons, à favoriser la relaxation et à faciliter l’expectoration des sécrétions bronchiques. Évidemment, il est formellement déconseillé de fumer...

Vous pouvez associer Lung Detox à un complément de détoxication du foie comme Silyplus si vous soupçonnez également votre foie d’être en mauvais état (exposition à des substances toxiques : alcool, médicaments, produits de nettoyage, pesticides…). Vous pouvez également lui adjoindre un complément anti-inflammatoire naturel comme Super Oméga-3 si vous pensez que l’inflammation est systémique. Enfin, si vous pensez respirer un air pollué au quotidien, nous attirons votre attention sur Zero Pollution, un complément 100 % naturel destiné à préserver la peau des méfaits de la pollution.

Informations nutritionnelles

Dose journalière : 2 gélules Nombre de doses par boîte : 30	Quantité par dose
N-acétyl cystéine	200 mg
Epigallocatéchine gallate (EGCG) (issue d’extrait de feuilles de thé vert)	50 mg
Quercétine (issue d’extrait de bourgeon de Sophora japonica)	50 mg
Bromélaïne 2.000 GDU/g	50 mg
Curcuminoides (issues d’extrait de Curcuma longa)	35 mg
Extrait de Petasites hybridus standardisé à 15 % de sesquiterpènes lactones	35 mg
Oligomères Procyanidoliques (issu d’extrait d’écorce de pin maritime)	30 mg
Autres ingrédients : gomme d’acacia, farine de riz blanc.

Conseils d'utilisation

Prendre 2 gélules par jour.

Précautions : ne pas dépasser la dose quotidienne recommandée. Ce produit est un supplément nutritionnel qui ne doit pas se substituer à une alimentation variée et équilibrée, ni à un mode de vie sain. Ne pas laisser à la portée des jeunes enfants. Conserver à l'abri de la lumière, de la chaleur et de l'humidité. Comme avec tout supplément nutritionnel, consultez un professionnel de santé avant de le consommer si vous êtes enceinte, allaitez ou si vous avez un problème de santé.

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Références scientifiques

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Booth FW : V02 max limits. J Appl Physiol 1989;67:1299 - 1300.
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Morgan WK, Reger RB. Rise and fall of the FEV5(1). Chest 2000; 118 :1639-44.
Sherman CB, Xiping Xu, Speizer FE, Ferris BG, Jr., Weiss ST. Dockery DW : Longitudinal lung function decline in subjects with respiartory symptoms. Am Rev Respir Dis 1992; 146 :855-9.
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Mucoactive therapy in COPD. Decramer M, Janssens W. Eur Respir Rev. 2010 Jun 1;19(116):134-40.
Mucoactive drugs. Balsamo R, Lanata L, Egan CG. Eur Respir Rev. 2010 Jun 1;19(116):127-33.
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Danesch UC. Petasites hybridus (Butterbur root) extract in the treatment of asthma--an open trial. Altern Med Rev. 2004 Mar;9(1):54-62.
Prefaut C, Masse-Biron J : Aptitude physique aérobie et vieillissement. Sciences et Sports 1989; 4 :185-91.