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En théorie, notre organisme est capable de fabriquer de l’EPA et du DHA à partir d’acides gras oméga-3 d’origine végétale, mais ces apports ont diminué considérablement au fil des décennies, du fait de l’agriculture moderne et de notre changement de régime alimentaire (3).
De plus, le taux de réussite de cette transformation est devenu famélique en raison de notre consommation d’oméga-6 totalement inappropriée (4). Les oméga-6 sont des acides gras beaucoup moins bénéfiques pour l’organisme, qu’on trouve absolument partout dans les aliments industriels modernes et qui mobilisent toutes les enzymes (élongases et désaturases) indispensables à la conversion des oméga-3 végétaux en DHA et en EPA.
Une personne qui déciderait d’augmenter ses apports en acides gras oméga-3 d’origine végétale ne ressentirait aucune différence si elle ne réduisait pas, dans le même temps et de façon considérable, ses apports en oméga-6. Ainsi, nous devrions consommer autant d’oméga-3 d’origine végétale que d’oméga-6. La réalité est cependant très éloignée de cet optimum puisque nous consommons de 15 à 50 fois plus d’oméga-6 que d’oméga-3 d’origine végétale.
En surnombre, les oméga-6 supplantent les oméga-3 et investissent les membranes cellulaires à leur place, conduisant à la formation de milliards de molécules pro-inflammatoires (5-6).
Caractérisée par une augmentation anormale de la pression sanguine, l’hypertension artérielle est une pathologie complexe, difficile à traiter. Mais sa prise en charge est néanmoins indispensable. À défaut, elle entraîne à moyen terme des complications graves :
Ce trouble est d’autant plus grave qu’il concerne plus de 20 % de la population adulte, 40 % des plus de 65 ans et 90 % des plus de 85 ans. Un risque qui augmente avec l’âge, mais également avec d’autres facteurs de risque comme les antécédents familiaux, le stress, une alimentation trop riche en sel, le surpoids, un manque d’activité physique ou encore le tabac.
Heureusement, il existe des moyens naturels capables de la contrôler comme les extraits d’ail contenant de la quercétine, les extraits de feuilles d’olivier, le potassium, la L-arginine et surtout, l’extrait de graines de céleri normalisé en 3-nbutylphthalides (3nB), des composés hypotenseurs naturels.
Après ingestion et absorption, l’EPA et la DHA sont incorporés dans les membranes cellulaires avec les phospholipides. Cette incorporation est un processus lent : il est donc nécessaire de prendre Super Oméga 3 quotidiennement pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, pour constater pleinement ses bénéfices.
À l’issue de la supplémentation, les apports en oméga-3 se reflètent dans la composition des phospholipides membranaires. L’étude NAT-2 a montré que la consommation d’oméga-3 induisait une augmentation significative des niveaux membranaires en oméga-3 (pouvant atteindre 70 %). Pour y parvenir, il est conseillé de diminuer ses apports en oméga-6 pendant toute la durée de la supplémentation.
Oui. Ces deux composés passent bel et bien à travers la barrière hématoencéphalique à l’aide de protéines de transport spécifiques aux acides gras polyinsaturés longues chaînes. Plusieurs essais conduits sur l’homme ont montré de façon incontestable que la prise orale d’oméga-3 menait à leur accumulation dans les tissus du système nerveux central (25-26).
Les softgels (aussi appelés « capsules molles ») de ce produit sont d'origine marine. Fabriqués à partir de gélatine de poisson, ils vous garantissent une assimilation optimale et se distinguent par leur pureté exemplaire.
Les gélules de ce produit sont composées d'HPMC (hydroxypropylméthylcellulose), une substance végétale dérivée de la cellulose. L'HPMC est couramment utilisée pour les médicaments et les compléments alimentaires. Elle ne contient aucun ingrédient d'origine animale, est reconnue comme sûre par les autorités de santé et est considérée comme plus durable que les alternatives synthétiques.